L’eau et sa dimension vibratoire
L’eau est partout sur notre planète. L’eau est partout dans notre corps. Elle circule ou stagne. Elle s’enrichie du sol, des courbes de la nature et sa force tranquille polie les plus gros rochers. Elle se fracasse, s’énergise, danse ou s’apaise. Sensible à l’air, ils forment un duo épatant qu’on retrouve partout sur Terre… et en nous. Que ferions-nous sans eau et sans air ?
La fréquence vibratoire de notre planète est en lien avec la fréquence du règne humain. Et l’eau qui est le parfait lien entre les deux a également son taux vibratoire. Comme celui des Humains, il varie. Les champs électromagnétiques, les pollutions chimiques, pesticides, perturbateurs endocriniens, stress, mauvaises énergies, sédentarité y sont pour quelque chose. Tout ce que notre œil observe dehors est un reflet de ce qui se passe à l’intérieur de nous-même. Alors …Comment rectifier le tir ? Si nous sommes miroir de cet état, comment peut-on laisser faire ? Quelle est notre responsabilité ? Comment agir sur nous pour que notre nouvel état se reflète à l’extérieur ?
Et si, nous conscientisions une bonne fois pour toute qu’agir sur soi impactait directement notre environnement ? Donc en prenant soin de choisir l’eau que nous buvons, nous élevons notre taux vibratoire et élever notre taux vibratoire revient à renforcer notre système immunitaire. Au cœur de chacune de nos cellules se trouve la mitochondrie. Alimentée par l’oxygène que nous inspirons, en charge de produire, stocker, distribuer l’énergie aux cellules, la mitochondrie est indispensable. Plus nombreuses dans les organes qui ne sont jamais au repos (comme les muscles cardiaques), elle s’affaiblit à force d’alimentation industrielle, d’eau de mauvaise qualité, la prise de tabac, d’alcool etc. Autrement dit, ce que nous vivons, mangeons, buvons a directement une incidence sur elles et notre santé.
Pour revenir à l’eau et à son importance, il est primordial de comprendre qu’à ce jour, que ce soit l’eau du robinet ou l’eau en bouteille, l’eau que nous consommons nous ‘encrasse’. Résidus à sec et plastique d’un côté, chlore et résidus médicamenteux de l’autre. Autrement dit : que choisir entre la peste et le choléra ? Tout d’abord, soyons bien clairs : l’eau a une mémoire. Selon sa source, son parcours, les herbes et les minéraux qu’elle va croiser, caresser, confronter, elle va se charger de minéraux (précisément !) pour offrir le meilleur d’elle-même. Quel dommage que ce meilleur soit abimé par sa condition. Justement …ne parle-t-on pas d’un conditionnement en plastique ? Stockée parfois des mois, en plein soleil, acheminée, sa nouvelle vie est loin d’être le trajet naturel et énergisant de celui qu’elle connaît dans la nature. Ça c’est pour l’eau des champs…Et pour l’eau des villes ? Pense-t-on un seul instant à tous les angles qu’elle subit, les montées et descentes, les montagnes russes métalliques dans des tuyaux gris, sans lumière ? Des kilomètres de ferraille, loin de la douceur de la nature et de son environnement premier. Tout cela…vous l’aurez compris est …Mort ! Et c’est pourtant ce que nous buvons. Nous ouvrons le robinet et nous nous servons un verre d’eau, un verre d’eau morte. Sommes-nous vraiment conscient de ce geste ? Et nous n’avons même pas encore évoqué le goût !
Pour que l’eau soit meilleure, prenons conscience que chaque mot a une vibration et chaque vibration a sa propre fréquence. En se référant aux travaux du brillant Masaru Emoto, nous voyons comme les mots positifs tels que « AMOUR » et « GRATITUDE » forment des cristaux absolument somptueux d’équilibre et de beauté. Projeter ces intentions sur l’eau que nous buvons permet de les réintégrer dans notre corps en les absorbant. Prendre conscience que nous sommes constitués d’eau et que ces molécules peuvent être assainies avec la projection d’intentions positives est tout simplement fascinant et d’une simplicité enfantine. Pourquoi ne pas prendre l’habitude de se faire du bien en buvant de l’eau en quantité suffisante, chargée d’intentions positives ?









